
Si la prise en compte du bien-être animal est inhérente à la pratique vétérinaire, il paraît pertinent de s’intéresser dans les faits aux moyens mis en place par les vétérinaires sur le terrain ! Nous avons choisi d’aborder, dans un premier temps, l’exercice vétérinaire équin en effectuant une série d’entretiens destinée à en mettre en lumière les spécificités.
Aujourd’hui, nous vous partageons le premier de ces entretiens : il s’agit de l’interview de Bertrand Olonde, vétérinaire équin en ambulatoire.
Au programme :
- 0’25 : Pouvez-vous vous présenter et présenter la pratique vétérinaire en ambulatoire ?
- 1’38 : Avez-vous en tête des problèmes en matière de bien-être animal rencontrés en pratique ambulatoire ?
- 2’27 : En tant que vétérinaire ambulatoire, vous pouvez constater sur place les conditions de vie de l’animal. Cela vous aide-t-il dans votre diagnostic ?
- 3’18 : Vous nous parliez d’ambiance d’écurie : pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit et nous indiquer ce qui, selon vous, est plutôt favorable au bien-être animal ?
- 4’25 : Selon vous, la pratique ambulatoire permet-elle à l’animal d’être moins stressé ?
- 5’30 : Que pensez-vous de l’entraînement au soin ? Le recommanderiez-vous ?
- 8’47 : Dans votre pratique ambulatoire, comment accompagnez-vous les propriétaires vers une meilleure pratique du bien-être animal ?
- 9’39 : Avez-vous des pratiques en tête que vous voyez souvent répétées et qui risquent d’aller à l’encontre du bien-être des chevaux ?
- 11’49 : Selon vous, avez-vous été suffisamment formé en bien-être animal au cours de votre cursus ? Avez-vous des besoins de formation particuliers ?
- 12’28 : Pour les deux prochaines années à venir, la visite sanitaire obligatoire pour les détenteurs de plus de trois équidés portera sur le bien-être animal : êtes vous concerné par la réalisation de ces visites et si oui, quel est votre avis sur la question ?
- 13’18 : Selon vous, le fait que cette visite sanitaire porte justement sur le bien-être animal témoigne-t-il d’une volonté des pouvoirs publics de se centrer davantage sur la question mais aussi d’inclure davantage les vétérinaires ?