A VetAgro Sup, une règle fondamentale s’applique : « Jamais la première fois sur un animal vivant ».
Les étudiants vétérinaires, avant d’obtenir le droit d’exercer en clinique, doivent ainsi impérativement valider en seconde année les différents ateliers qu’offre le plateau de simulation. Le but ? Acquérir les bons gestes grâce aux outils de simulation (mannequin, réalité virtuelle, jeu de rôle, etc.) afin d’éviter par la suite toute souffrance inutile pour les animaux vivants.
Nous vous laissons découvrir le plateau de simulation et quelques-uns des ateliers qu’il propose avec cette vidéo réalisée par deux étudiants vétérinaires, Guillaume Bruhl et Claire Missana, avec le soutien de la Chaire bien-être animal.
La salle de simulation destinée aux étudiants vétérinaires lyonnais s’appuie sur une règle fondamentale : « Jamais le premier geste sur l’animal ».
CLAIRE MISSANA
Au programme
- 0:17 : Les objectifs de la salle de simulation
- 0:50 : Présentation de la salle de simulation
- 1:04 : Fonctionnement de la salle de simulation
- 1:09 : Quelles techniques peuvent être pratiquées ?
- 1:52 : Fiches de renseignement sur la réalisations des pratiques
- 2:12 : Simulations pour animaux de compagnie
- 3:09 : Simulations pour bovins
- 3:25 : Simulations pour chevaux
- 3:46 : La règle fondamentale de la salle de simulation
- 4:23 : Quelles évolutions pour le futur ?
Pour en savoir plus sur l’importance d’une bonne relation humain-animal, n’hésitez pas à consulter le compte rendu de l’après-midi de conférences que nous vous organisé à ce sujet !
à retenir
- A VetAgro Sup, les étudiants vétérinaires s'exercent sur des outils de simulation avant de pratiquer le geste pour la première fois sur un animal vivant
- Un geste non maitrisé peut être douloureux, générer du stress ou de l'inconfort à l'animal.
- La salle de simulation de VetAgro Sup propose des exercices utilisant des mannequins, la réalité virtuelle, ou encore des jeux de rôle
CHIFFRE CLÉ
ateliers proposés pour s’exercer
La salle de simulation destinée aux étudiants vétérinaires lyonnais s’appuie sur une règle fondamentale : « Jamais le premier geste sur l’animal ».
CLAIRE MISSANA