Voici la suite du podcast dédié aux objects connectés et à leurs intérêts pour objectiver le bien-être animal (première partie disponible ici). Dorothée Ledoux, enseignant-chercheur en zootechnie et médecine des troupeaux à VetAgro Sup et membre de la chaire bien-être animal, aborde cette fois-ci un peu plus concrètement ses activités de recherche. Loin de vouloir transformer l’animal en une machine sur-équipée de capteurs, elle explique en quoi ces outils connectés peuvent être d’un grand intérêt pour lui, en permettant de déceler précocement des états de mal-être pour agir au plus tôt. De tels outils connectés sont également avantageux pour l’éleveur qui peut alors assurer un suivi individuel beaucoup plus fin de ses animaux. Bonne écoute à tous !
Ce qui serait utile dans le partenariat entre l’éleveur et le vétérinaire, c’est que les informations qui sont enregistrées sur les animaux puissent être utilisées par le vétérinaire pour suivre l’évolution d’un animal
DOROTHEE LEDOUX
Pour en savoir plus sur le sujet, n’hésitez pas à consulter cet article « Elevage de précision et bien-être en élevage » co-écrit par Dorothée ou encore le Livre blanc « E-santé animale ».
à retenir
- L'usage des outils connectés est appelé "élevage de précision"
- La recherche de la Chaire bien-être animal sur les outils connectés s'effectue à la fois dans des fermes, des stations expérimentales et dans les hopitaux de VetAgro Sup
- Les anomalies de capteurs sont très fréquentes et font l'objet de recherches permanentes, en vue de les corriger
Ce qui serait utile dans le partenariat entre l’éleveur et le vétérinaire, c’est que les informations qui sont enregistrées sur les animaux puissent être utilisées par le vétérinaire pour suivre l’évolution d’un animal
DOROTHEE LEDOUX